dimanche 3 mai 2015

La ministre beurette Najat Belkacem soutient l' exclusion d' une élève musulmane pour sa jupe jugée trop longue.


Avez vous remarqué que les gouvernement sionistes successifs français désignent plus facilement comme ministres ou secrétaires d' Etat des beurettes, ou des femmes dites " issues de la diversité "
( lorsqu' elles ne sont pas farouches ) , que des hommes issus de cette même "diversité " ?

Rachida Dati, Jeannette Bougrab, Nora Berra, Fleur Pellerin Ramada Yade...
Sont choisies pour incarner un modèle:
Celui de la beur, black ou jaune adoptée par la " république laïque".

Elle se doit donc d' avoir relégué aux oubliettes la religion de ses ancêtres pour adopter un mode de vie et des convictions compatibles avec la dictature sioniste qui n' a de cesse de persécuter les musulmans de France en raison du danger que ces derniers pourraient représenter pour leur hégémonie économique, politique et culturelle.

Le profil de harkie ou renégate est donc prisé comme faire valoir de la politique ouvertement islamophobe des gouvernements sionistes successifs en France.





La ministre de l’Education a donné raison à la direction du collège de Charleville-Mézières où est scolarisée la petite Sarah qui vit depuis plusieurs semaines un harcèlement dû à sa “jupe longue”. 
Une position qui démontre l’hypocrisie du gouvernement face à un phénomène connu et répandu à travers l’hexagone.
Dans un interview donné à RTL, Najat Vallaud-Belkacem s’est de nouveau illustrée en défendant l’oppresseur plutôt que l’opprimée. 
Pour la Ministre de l’Education, la direction du collège a fait preuve de “discernement” devant un caractère “prosélyte” dans l’attitude de l’élève de 15 ans. Mme Belkacem a aussi récusé le fait que la jeune fille ait été expulsée à deux reprises de son collège expliquant qu’il y avait un dialogue avec la famille.
“En l’occurrence, il a été jugé qu’il y avait du prosélytisme de la part de l’élève.

Ça n’a pas été une exclusion qui a été prononcée mais un dialogue qui a été ouvert avec la famille.

Et je note que sa mère s’est exprimée pour demander que les choses s’apaisent”, a ajouté Najat Vallaud-Belkacem.
A nouveau, une élève mineure musulmane est mise au devant de la scène médiatique et politique sans se soucier de l’impact psychologique que cela produira sur cette élève sans histoire.
 En niant l’illégalité d’une telle sanction et les dérives produites par la loi interdisant les filles voilées dans les établissements publics, le Ministère de l’Education Nationale ferme les yeux devant des mesures discriminatoires qui ne feront que se multiplier les prochaines années. 
La mère de la jeune fille visiblement sous pression et dépassée par la polémique autour de l’exclusion de sa fille a souhaité désamorcer l’affaire. 
“On ne cherche pas de problème ; l’important c’est que ma fille continue ses études mais on ne comprend pas pourquoi l’école a réagi comme ça”, a-t-elle déclaré à l’AFP. 
Le cas de Sarah n’est qu’un exemple parmi des centaines d’autres. 
Les abus de pouvoir dans l’Education Nationale, l’instrumentalisation d’une laïcité exclusive visant uniquement les élèves musulmanes ne pourront pas rester étouffés longtemps par des pressions sur les familles.
 

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